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T'Es Qui, TÔÔÔA ?

  • : Peroline's blog depuis Grenoble, 4ème étage !
  • : Bienvenue à tous ! Amis, parents, frères et ennemis, nous sommes réunis aujourd'hui pour... rigoler ? se cultiver ? partager ?
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La Nouvelle Star

10 avril 2007 2 10 /04 /avril /2007 16:23

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Petit piratage pour souhaiter un joyeux anniversaire à ma jolie princesse...

(promis, je le ferai plus...)
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6 avril 2007 5 06 /04 /avril /2007 23:25
Allez, ce soir, je m'offre une petite gâterie en offrant un nouvel opus de la catégorie "Tu sais pas qui j'ai vu ??". En effet, dès demain, vous pourrez dire : "Tu sais pas qui j'ai vu à la télé, hier soir ? Peroline !!"

Et oui, votre humble servitrice, dans ses quelques pérégrinations* a fait partie du public de l'émission animée par Laurent Ruquier "On n'est pas couché" ! Rendez-vous donc samedi soir à 23h25 sur France 2 pour une émission qui déchire pas sa mère, mais bon.

Et, à la gauche de l'animateur, c'est-à-dire sur la droite de l'écran, vous découvrirez une magnifique jeune fille en chemisier rouge qui s'est fait mal aux fesses pendant 5h30 d'enregistrement (!!!) pour TON plaisir, public !

Et (non pour vous faire languir, mais parce que je ne vais pas avoir le temps dans les minutes qui viennent) il vous faudra patienter quelques jours pour avoir le récit complet de cette expérience hors du commun, tournée... au Moulin Rouge (kitchi kitchi) !!

* expression volée au Zitoun
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26 mars 2007 1 26 /03 /mars /2007 10:07
Et oui, je ne pouvais pas ne pas en parler, je ne pouvais pas ne pas le crier sur les toits, et surtout à toi, mon bel homme : voilà un an que pour la première fois nos vrais regards se sont croisés.

Oui, chers amis, chère famille belle et vice et versa, Taho! et moi nous sommes rencontrés le samedi 25 mars 2006, alors qu'il faisait très beau, et que le grand n'avait pas réussi à perdre son chemin jusqu'à mon antre... Un an après, le soleil est toujours là et les sentiments encore plus forts ! Au point que, pour fêter ça, nous n'avons rien fait de spécial, sinon nous promettre de nous aimer pendant encore longtemps ! longtemps ! longtemps !  Une chose est sûre, c'est qu'il est mon homme, et que je le veux pour encore un bon bout de temps...

Et devant cet étalage rose de guimauve rose (avec supplément chantilly*), je m'arrête.


* une de ses expressions favorites.
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5 mars 2007 1 05 /03 /mars /2007 20:53
Honte sur moi, je me déteste et me dégoûte. Je n'écris pas, je n'écris plus, j'ai la hantise de la main qui ne bougerait plus, qui ne voudrait pas, tandis que l'esprit ressasse idées, concepts, matières que le corps refuse de voir sur du papier. Je vomis mes mots mais ne les regarde pas, je débecte les écrans pour ne faire que voyager spirituellement, et je charge, charge, charge, des cartouches qui jamais ne se vident, jamais ne se lassent, et qui s'épuisent elles-mêmes. Les fourmis dans la main droite, le livre dans la main gauche, je pense à des souterrains de héros, à des avalanches d'histoires d'amour, à des montagnes de complots sans que jamais ceux-ci ne prennent vie. Je m'abreuve d'images, bois journaux, panneaux, jeux de mots mais n'en crée aucun. Je suis au stade zéro, le stade maudit, quand même l'écrivain ne s'écrit plus, quand même le jeu n'en vaut plus la chandelle et qu'on lui préfère le petit écran. J'ai mal aux doigts de ce qu'ils ne bougent plus, scotchés dans les vapeurs d'un alcool tendre, et tandis qu'enivrante la plume me dévore de l'intérieur, je reste bouche bée, yeux plats, mains moites devant cette immense feuille blanche tendue au-devant.

Qu'écrire ? Que faire ? Que dire ? Pour plaire ? Je chevauche et trébute, relate les verbes insensés qui éclatent sur moi, telles des vagues sur les rochers. Je me noie dans cette encre de chine bon marché, déglutis des litres de litotes, colle et décolle anacoluthes sans que rien jamais ne se rejoigne. Les deux bouts se boudent, les deux bandes débandent, et je reste coi dans ce silence de mo-r-ts. Mon esprit cherche à sortir de ces sables mouvants, écris, écris, me crie-t-il ; mais

je ne sais plus.
Le verbe est là mais il sonne faux, creux, vide, comme vidé de tout sens et sensé être plein, il déguste, lui aussi. Il ne colle plus à ses semblables, il a fui devant l'impraticable. Je suis laissée par mes dernières volontés, qui ne seront pas sur papier. Comme des airs de musique fugaces s'élevant du piano, de mon être tout plein s'évaporent les dernières notes d'un passé d'écrivain encore proche. Je sue les noms communs, défèque les adverbes, lave les virgules, décroche les barres des t et laisse pendouiller les j. J'abandonne les mots qui m'ont abandonnée, je déclare ouverte la guerre des boutons de clavier.

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28 février 2007 3 28 /02 /février /2007 22:30
Du 26 janvier au 3 février (à peu près), je m'étais invitée pour quelques jours chez la Mandine 63, qui m'avait accueillie, avec Taho! et le sourire. Là-bas, nous attendaient trois choses de taille : le Christophe, sa Wii, et le festival de Clermont-Ferrand. Par manque de temps, nous ne parlerons que de ce dernier, car, dans le premier cas, la nuit ne s'achèverait jamais... :D

Ainsi donc, le festival de Clermont-Ferrand a été fréquenté par mon humble personne et mes quelques amis alors présents durant quelques jours. Pour vous en parler, chers lecteurs, je ne vais de ce pas vous en parler, mais pratiquer l'une de mes activités favorites : le collage de liens ! Vous serez donc priés de faire remonter encore et encore les taux de fréquentation d'abus de ciné en cliquant sur le lien ci-ici : ici, le lien !

Pour l'instant, vos seuls commentaires devront être mis ici (en bas) puisque les adresses mail rattachés au site ne sont pas encore accessibles ! Bonne lecture !




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7 février 2007 3 07 /02 /février /2007 13:04
Zapping effrené à l'instant, en ce moment-même, où, en lieu et place d'un cinéma que je décidai de déserter, le destin me permit de réparer une erreur jadis commise. Un article autrefois envisagé, pensé, mentalement construit, était tombé à l'eau, faute de temps, faute d'envie, faute de tout. Mais le service public me permet de vous parler de ce fameux sujet qui me paraît plus que passionnant, encore plus depuis l'année dernière : le Superbowl.

Permettez-moi d'abord de dédier ces quelques mots à France 4, qui, pour la deuxième année (de ce que j'en sais, en tout cas), donne la possibilité à nous tous, ignorants français, fans d'un ballon rond, de voir les choses sportives sous une perspective ovalienne.


Le plus drôle, ce n'est pas le match, évidemment que non. De la même manière qu'au football, nos yeux frétillent devient ces comédiens qui s'écroulent de douleur imaginaire au moindre contact, ce sont ici les commentaires de notre ami Pierre Sled (et un certain Philippe - Filip ?) qui donnent tout le relief à cette intermède entre le Zappping et Les Feux de l'amour.

Alors que ledit Pierre nous confie que le sport est plus intéressant quand on connaît les statistiques, un joueur blanc fait un fun ball !! Incroyable ! La seconde suivante, un turn over ! Vous y croyez, vous ?

Une fois qu'on a réussi à rire des commentaires, le second degré de ce sport (qui a pour seul défaut d'être encore trop inconnu en Europe) intervient dès lors qu'on tente de comprendre les règles : deux équipes, une en noir, l'autre en blanc. Le but : marquer un touch down à l'autre bout du terrain. Le principe c'est que pendant sept ou huit secondes, tout le monde s'active comme de véritables fourmis, ensuite ils s'arrêtent trois minutes. Il s'agit d'avancer de ligne en ligne (chacune séparée des autres par 10 yards - ??) et c'est la pub.

Après 25 minutes, j'ai réussi à comprendre que l'une des deux équipes était celle de Minneapolis (un ou deux "n", je me souviens plus).
Je sais pas vous, mais moi je préfère quand on se bat pour un saladier d'argent. :D

Ah oui, j'ai oublié : comme le temps est un peu long, à la mi-temps, les spectateurs ont droit à un concert de Prince (qui porte une espèce de bandeau sur la tête, un peu comme les femmes de ménage dans les sketches des Inconnus...) alors que des centaines de pom-pom girls se dandinent à moitié nues sur une pelouse foulée par des pieds à plusieurs millions...
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24 janvier 2007 3 24 /01 /janvier /2007 21:33
Bouche ouverte, bouche bée.

Michèle Bernier a été mariée à Bruno Gaccio.

Yeux écarquillés.
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14 janvier 2007 7 14 /01 /janvier /2007 18:46
La citation du jour, piquée à l'écrivain Marcel Ruffo :


"A la Saint-Valentin, elle m'a touché la main. Vivement la Saint-Brigitte."
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28 décembre 2006 4 28 /12 /décembre /2006 10:07
Je crois que le Comoedia m'a maudite, et dans ma chute j'ai récemment entraîné Zitoun et Taho!.

Je m'étais enfin décidé à voir Scoop, samedi à 18h, l'occasion également de découvrir la nouvelle déco du Comoedia, salle de cinéma récemment ouverte à Lyon. Avec les amis, on est arrivés pile just limite, genre à moins cinq. A la caisse, achat d'une carte avec 6 places, avec vérification que le film n'a pas commencé. Confirmation.

Engagés dans la file d'attente, nous présentons les billets à l'ouvreuse qui nous signale que le film n'est pas terminé. Interrogation, surprise, mais acceptation : nous sommes  disciplinés. A côté de moi, je vois passer Chabert, qui fait la bise à la susdite dame. Si on avait été dans un épisode de Nicky Larson, un moustique serait passé au-dessus de ma tête en laissant des petits points derrière lui.

L'heure passe, il doit être 18h05 passées, nous ne comprenons toujours pas. Je vérifie de nouveau auprès de l'ouvreuse qu'il n'y a pas d'erreur - d'autant plus qu'ici, les films commencent à l'heure, sans publicités. Elle hoche la tête.

18h15 presque, et là, on commence à se dire qu'il y a vraiment un problème. Taho! se dirige vers la caissière et lui demande si le film a commencé, tandis qu'une ouvreuse numéro 2 arrive près de nous :


OUVREUSE NUMERO DEUX, attendant les billets

Bonjour.

LES HEROS DE L'HISTOIRE, tendant les billets

Bonjour, on vient voir Scoop, mais votre collègue
nous a dit que le film n'était pas terminé.

OUVREUSE NUMERO DEUX

Bien sûr que si, il a déjà commencé.

OUVREUSE NUMERO UN

T'es sûre ? Y'avait encore des gens dans la salle.

OUVREUSE NUMERO DEUX

Oui, c'est qu'ils étaient déjà entrés pour la séance de 18h.

LES HEROS DE L'HISTOIRE

.........



Si on avait été dans un épisode de Nicky Larson...................

L'ouvreuse numéro deux nous conduit dans la salle, Taho! se dépêche à s'installer, mais je refuse catégoriquement de louper les 15 premières minutes d'un film, d'autant plus d'un Woody Allen, alors que ce sont eux qui se sont plantés.
Finalement, les places ont été restaurées sur notre carte d'abonnement, et en prime, une des responsables nous a proposé trois places pour une prochaine avant-première. Assez sympa, très commerçant, même si le geste n'était pas complètement nécessaire : le Comoedia est un nouveau lieu de culture cinématographique ! On va quand même pas se plaindre pour un petit bug d'organisation... D'autant que le Zitoun, qui est venu plusieurs fois, n'a jamais connu aucun problème...

J'étais quand même bien embêtée ; déjà d'avoir fait courir mes compagnons pour rien, ensuite de ne pas avoir vu le film.

Qui passe encore cette semaine alors que je suis à Grenoble.
Si j'étais dans un épisode de ....................

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5 décembre 2006 2 05 /12 /décembre /2006 23:07
Ah la la !! Je regarde en ce moment même Les Années Club'Do, une super émission sur AB1 où Jacky (si, si, le vrai) revit sa gloire passée du temps du Club Dorothée.

Et là, on a vraiment de la chance, puisqu'il a fait une super compil' du "Jacky Show", l'ancêtre du Hit Machine, en gros.

Le 6 septembre 1987, c'est la première du Jacky Show : lui se tient sur une estrade d'environ 50 centimètres, le micro à la main, et dans le micro, annonce d'une voix forte : "C'est la première du Jacky Show !". Il y a NEUF personnes dans le public, c'est trop bon.

Alors, ils nous passent pleins d'extraits de toutes les stars qui sont venues fouler de leurs pieds célèbres le parterre du Jacky show : Vanessa Paradis, Marc Lavoine... mais aussi de ceux qu'on avait oubliés : quel bonheur de revoir L'affaire Louis Trio et leur costume trop grand jouer sur la contrebasse qui danse...




Je crois que le top du top,
c'est le générique de fin
avec Dorothée qui chante :
"Nicolas et Marjolaine
ont appris à dire je t'aime
et la vie qui les entraine
à tout jamais les enchaîne..."





On a aussi eu droit à une super rétrospective consacrée à Mr Cadeau !! L'éternel homme qui voulait devenir célèbre derrière son écran... Lui, seul au monde avec son casque sur les oreilles. La rétrospective montrait une sélection de toutes les fois où il s'est fait bâché, vanné, éclaboussé, farinisé... Et mine de rien, j'avais envie de me marrer avec Dorothée, Ariane, Corbier et les autres sur le dos de Mr Cadeau ! J'avais pas le souvenir d'une émission où les animateurs s'amusaient autant eux-mêmes, et s'entendaient si bien... Ca m'a fait très plaisir !!


Mais quand même, c'était bien con.
 Je regrette juste un peu la naïveté des propos
par rapport à ce qu'on propose aux enfants
                             aujourd'hui.

Et pour le bonheur des yeux mais surtout du souvenir (à l'image de mon article sur Hartley, que finalement, je n'ai regardé qu'une seule fois), je vous propose quelques images qui viendront, j'en suis sûre, titiller la mémoire... :D - Finalement, vous avez dû le remarquer, je les ai dispatchées au cours de ma brillante analyse phénoménologique...





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